photo EXPO : A FLEUR DE PEAU - ISABELLE PIRON

EXPO : A FLEUR DE PEAU - ISABELLE PIRON

Frontignan 34110

Du 22/01/2022 au 05/03/2022

Inauguration de l’exposition d’Isabelle Piron – À fleur de peau – vendredi 21 janvier Art textile, photo, gravure. Un fil rouge, des broderies, une histoire de femmes, de cœur, de mémoire et de transmission. Le trousseau, c’est un ouvrage de femmes, du linge de maison revu et corrigé. Après près d’un an d’ateliers menés auprès de différents publics, l’artiste propose sa version du trousseau : des œuvres textiles cousues sur des serviettes de table brodées, des soies, des satins, du lin, des cotons, des cravates, des fibres… et ces seins charnels, érotiques, maternels, mystiques ou engagés. Il y a l’« immaculé » ou le sein en poire du Maine-et-Loire, l’« originel », ou encore la « pomme d’amour ». Un trousseau dont, souvent, la femme faisait partie à part entière… Mais on trouvera aussi dans cette exposition d’autres parties du corps cousues sur des pages de La Revue universelle de 1937 : ces créations donneront naissance à des textes créés par les écrivants de la Fabrikulture. Textes que l’artiste utilisera à son tour pour créer d’autres objets (livres d’art…). 18h, salle Jean-Claude-Izzo, rue député Lucien-Salette Exposition du 22 janvier au 5 mars 2022, salle Jean-Claude-Izzo,[...]

photo ‘CHAMBRE D’ÉCHOS’

‘CHAMBRE D’ÉCHOS’

Exposition, Patrimoine - Culture

Montpellier 34000

Du 08/02/2022 au 02/04/2022

‘Chambre d’échos' est un espace en construction où gestes chorégraphiques et plastiques se répondent et se transforment tout au long de l’exposition, pour composer une scénographie mobile à l’intérieur de laquelle une performance se construit peu à peu. Tour à tour salle d’exposition, studio de répétition et coulisses ouvertes au public, gestes et récits du travail technique au théâtre se croisent avec des fragments de l’histoire du bâtiment, des archives et des mémoires personnelles. L’intitulé ‘Chambre d’échos' fait appel à l’espace institutionnel vide, où résonnent des questions de perte de mémoire et de politiques d’effacement culturel, comme dans l’épisode de l’incendie du musée National de Rio de Janeiro en 2018. À l’image de son œuvre aux multiples formes – livres, installations, performances ou encore vidéos – la pratique de Clarissa Baumann résiste aux assignations génériques.